SÉANCE 5 : LE CIVISME EN LIGNE

COMPÉTENCES À ACQUÉRIR

 

  • Je suis capable de définir ce qu’est une théorie du complot
  • Je suis capable d’identifier un média citoyen
  • Je connais les solutions pour lutter contre le conspirationnisme

 

QUESTIONNAIRE D’ÉVALUATION DES APPRENANTS

 

Q1 : Qu’est-ce qui différencie un média citoyen d’un média traditionnel ?

 

  • A : les thématiques abordées
  • B : la présence de journalistes professionnels
  • C : les moyens de diffusion de l’information
  • D : l’utilisation de l’humour

 

Q2 : Laquelle de ces propositions ne définit pas les théories du complot

 

  • A : récit qui met en scène des groupes de personne agissant dans l’ombre
  • B : discours théorique qui semble cohérent et « logique »
  • C : démarche historique et scientifique basée sur des informations vérifiées
  • D : ensemble structuré d’hypothèses et d’arguments manipulés

 

Q3 : Les discours de haine peuvent-être amplifié par

 

  • A : les fausses informations
  • B : les préjugés et stéréotypes
  • C : l’éducation
  • D : la peur et le rejet de l’autre

 

Q4 : Sous quelles formes les médias citoyen peuvent-ils exister ?

 

  • A : les chaînes de télévision
  • B : les blogs
  • C : les journaux
  • D : les groupes Facebook/Twitter

 

Q5 : Quelles sont les conséquences des théories du complot ?

 

  • A : elles génèrent des discours de haine
  • B : elles enferment dans une logique de méfiance et de fausse croyance
  • C : elles créent de l’adhésion à des théories non prouvées
  • D : elles font éclater la vérité

 

Q6 : Comment lutter efficacement contre le conspirationnisme ?

 

  • A : en régulant et limitant les contenus haineux et les fausses informations
  • B : en interdisant les réseaux sociaux
  • C : en se moquant des complotistes
  • D : en développant l’esprit critique des citoyens

 

Q7 : Qu’est ce que la citoyenneté numérique ?

 

  • A : l’appartenance à un pays virtuel
  • B : la façon dont les internautes se comportent et interagissent en ligne
  • C : faire preuve de bienveillance et respecter les bonnes pratiques sur internet
  • D : une carte d’identité en ligne

 

 

CORRIGÉ DU QUESTIONNAIRE

 

  • Q1 : A B C
  • Q2 : C
  • Q3 : A B D
  • Q4 : B D
  • Q5 : A B C
  • Q6 : A D
  • Q7 : B C

SÉANCE 4 : DÉCRYPTER LES DIFFÉRENTS MÉDIAS

COMPÉTENCES À ACQUÉRIR

 

  • Je suis capable d’identifier différents formats d’informations
  • Je sais quelle place occupe l’image dans la diffusion d’infox
  • Je sais définir un mythe

 

 

QUESTIONNAIRE D’ÉVALUATION DES APPRENANTS

 

Q1 : Par quelle entreprise YouTube a t-il été racheté en 2006 ?

 

  • A : Microsoft
  • B : CocaCola
  • C : Ebay
  • D : Google

 

Q2 : Laquelle de ces techniques n’est pas une manipulation d’image/vidéo

 

  • A : le trucage ou montage photo
  • B : le faux témoignage
  • C : la décontextualisation
  • D : le “Deepfake

 

Q3 : Quels types de contenu trouve-t-on généralement sur Youtube ?

 

  • A : des informations vérifiées par des journalistes
  • B : des vidéos de divertissements
  • C : des films d’auteurs
  • D : des chaînes de télévision en direct

 

Q4 : Combien d’heures par jour en moyenne un individu passe-t-il sur les écrans (dans le monde) ?

 

  • A : 1 heures 38 minutes
  • B : 3 heures 26 minutes
  • C : 6 heures 42 minutes
  • D : 9 heures 14 minutes

 

Q5 : Le cinéma peut être considéré comme

 

  • A : un média à part entière
  • B : un moyen d’expression artistique
  • C : un réseau social
  • D : un canal d’information public

 

Q6 : Qu’est ce qui rend l’image aussi utilisée dans les infox ?

 

  • A : sa facilité de diffusion
  • B : sa puissance symbolique
  • C : c’est le seul moyen de produire des infox
  • D : il est facile de les manipuler

 

Q7 : Qu’est ce qu’un mythe ?

 

  • A : une rumeur qui circule depuis longtemps
  • B : un fait historique fiable et vérifié
  • C : une construction imaginaire qui a une fonction politique/social
  • D : un type de discours scientifique et rationnel

 

 

CORRIGÉ DU QUESTIONNAIRE

 

  • Q1 : D
  • Q2 : B
  • Q3 : B D
  • Q4 : B
  • Q5 : C
  • Q6 : A B D
  • Q7 : C

SÉANCE 3 : INFORMATION ET DÉSINFORMATION

COMPÉTENCES À ACQUÉRIR

 

  • Je suis capable de faire preuve d’esprit critique
  • J’ai compris la démarche journalistique qui consiste notamment à vérifier les informations
  • J’ai saisi l’intérêt de faire valider ses sources
  • J’ai compris la notion d’”infox” et son intérêt dans l’éducation aux médias
  • Je suis capable de déjouer les pièges de la désinformation
  • Je connais les différentes étapes du “fact checking”

 

QUESTIONNAIRE D’ÉVALUATION DES APPRENANTS

 

Q1 : Faire preuve “d’esprit critique” signifie :

 

  • A : Critiquer les journalistes qui ne respectent pas les règles déontologiques de la profession
  • B : Ne pas croire aux informations qui circulent dans les médias traditionnels
  • C : Ne pas croire aux informations qui circulent sur internet et les réseaux sociaux
  • D : Être capable de raisonner de manière autonome, rationnelle et consciente face à une information, tout en tenant compte des intentions de l’auteur

 

Q2 : Les bons réflexes à adopter face à une information sont :

 

  • A : Vérifier ses sources, séparer les faits véritables de l’interprétation des événements, confronter les interprétations et les hiérarchiser en favorisant celles qui s’appuient sur l’expérience et la recherche, par rapport aux hypothèses et aux croyances.
  • B : Vérifier ses sources, analyser les interprétations, les faire valider par une tiers personne, tenter de comprendre ce qui se cache derrière cette information, favoriser les interprétations qui reposent sur des hypothèses et des croyances.
  • C : Vérifier ses sources, faire une recherche sur l’auteur, le nombre d’articles qu’il a écrit sur le sujet, le nombre d’utilisateurs qui le suivent sur les réseaux avant de valider son hypothèse.
  • D : Douter de son exactitude et des intentions de son auteur, même s’il s’appuie sur l’expérience et la recherche.

 

Q3 : Pour valider une source, il suffit de :

 

  • A : S’assurer qu’elle ne provient pas des réseaux sociaux
  • B : Connaître l’auteur de l’information et lui accorder sa confiance
  • C : Trouver d’où vient l’information au départ, vérifier qu’il s’agit bien d’une personne ou structure experte sur le sujet, puis la recouper
  • D : S’assurer qu’elle est diffusée sur les médias traditionnels

 

Q4 : Les notions d’ “infox”, de fausse information ou de fake news décrivent des informations :

 

  • A : Qui ne correspondent pas aux croyances générales des citoyens et qui posent problèmes dans le débat public
  • B : Fabriquées, truquées ou déformées, diffusées volontairement par des individus, dans le but de manipuler les citoyens
  • C : Qui ne peuvent pas être vérifiées malgré leur véracité
  • D : Qui sont diffusées à très grande vitesse par des internautes

 

Q5 : Pour déjouer les pièges de la désinformation, il faudrait :

 

  • A : Laisser toutes sortes d’information circuler et permettre aux plus jeunes d’aiguiser leur esprit critique
  • B : Responsabiliser les plateformes et les “géants du net”
  • C : Limiter la liberté d’expression sur internet et le travail des journalistes
  • D : Préparer la population à faire face, de plus en plus souvent, aux fausses informations en proposant des formations d’éducation aux médias

 

Q6 : Si grâce au fact checking, les médias luttent contre la circulation de fausses informations, il faut rester prudent car :

 

  • A : Certaines questions ne peuvent pas être tranchées par un simple fact checking, comme des questions politiques, d’opinions ou de morale
  • B : Les médias peuvent par cet exercice, diffuser d’autres fake news
  • C : Les journalistes ne sont pas en mesure de vérifier toutes les informations
  • D : Les médias sont toujours motivés par des objectifs financiers ce qui impact forcément leur jugement

 

 

CORRIGÉ DU QUESTIONNAIRE

 

  • Q1 : D
  • Q2 : A
  • Q3 : C
  • Q4 : B
  • Q5 : B, D
  • Q6 : A

SÉANCE 2 : LES NOUVEAUX MÉDIAS

COMPÉTENCES À ACQUÉRIR

 

  • Je suis capable de distinguer les médias traditionnels des nouveaux médias
  • J’ai compris comment les médias sociaux transforment le paysage médiatique
  • J’ai saisi les risques et opportunités du “journalisme citoyen” et de l’usage d’internet par les jeunes
  • J’ai conscience de l’influence des algorithmes sur notre manière de naviguer sur internet
  • J’ai compris comment fonctionnent les “ bulles de filtre “ et je sais adopter des habitudes de navigations pour les contrer

 

QUESTIONNAIRE D’ÉVALUATION DES APPRENANTS

 

Q1 : Parmi les médias traditionnels, on trouve :

 

  • A : Facebook, Instagram, Tiktok
  • B : La télévision
  • C : Twitter
  • D : La radio

 

Q2 : Les réseaux sociaux se distinguent des médias traditionnels par :

 

  • A : La logique de collaboration qui les définit
  • B : Le sérieux et le professionnalisme de ses utilisateurs
  • C : Le caractère interactif de son fonctionnement
  • D : Leur aptitude à diffuser une information de qualité au plus grand nombre

 

Q3 : La notion de “journalisme citoyen” renvoie à :

 

  • A : Une pratique qui fait de chaque utilisateur des médias sociaux en producteur d’information en puissance.
  • B : La responsabilité dont font preuves les utilisateurs des réseaux sociaux en toutes circonstances
  • C : L’importance de former les journalistes aux notions de liberté d’expression et de liberté de la presse
  • D : La formation journalistique qui est délivrée à chaque utilisateur des réseaux sociaux

 

Q4 : Les géants du web utilisent les algorithmes pour :

 

  • A : Proposer le contenu le plus adapté à chaque utilisateur
  • B : Comptabiliser le nombre de cliques, de likes et d’achats effectués par les utilisateurs
  • C : Vérifier les informations qui circulent sur les réseaux sociaux
  • D : Influencer les comportements des utilisateurs dans un but commercial

 

Q5 : Lorsqu’un utilisateur se trouve dans une “bulle de filtre” cela signifie :

 

  • A : Qu’il peut avoir accès à un grand nombre de filtres pour améliorer ses photos et ses vidéos
  • B : Qu’il ne consulte que des sites contenant des “fake news”
  • C : Qu’il n’a accès qu’à un seul type d’information à cause des algorithmes mis en place par les géants du web
  • D : Qu’il passe trop de temps sur internet

 

Q6 : La promesse initiale d’internet formulée était de :

 

  • A : Proposer aux utilisateurs d’accéder à des contenus personnalisés
  • B : Favoriser l’émancipation et la liberté de ses utilisateurs
  • C : Permettre aux internautes d’avoir accès à des nouveaux produits de consommation via les publicités
  • D : Isoler les utilisateurs et tester leur esprit critique

 

 

CORRIGÉ DU QUESTIONNAIRE

 

  • Q1 : B, C
  • Q2 : A, C
  • Q3 : D
  • Q4 : A
  • Q5 : C
  • Q6 : B

SÉANCE 1 : FONCTIONS ET SUPPORTS DE L’INFORMATION

COMPÉTENCES À ACQUÉRIR

 

  • Je sais ce qu’est une information et un média
  • Je suis capable de citer les principaux médias de mon pays
  • Je connais le circuit de l’information
  • Je comprends les notions de “liberté d’expression” et de “liberté de la presse”, ainsi que leur rôle dans une société démocratique
  • Je connais les grands principes déontologiques du journalisme
  • Je comprends le rôle des journalistes dans une société démocratique

 

 


QUESTIONNAIRE D’ÉVALUATION DES APPRENANTS

 

Q1 : A quelle période remonte l’émergence d’internet et des nouveaux médias ?

 

  • A : Les années 1970
  • B : Les années 1980
  • C : Les années 1990
  • D : Les années 2000

 

Q2 : Dans les sociétés démocratiques, les médias représentent :

 

  • A : Un outil de propagande pour manipuler les masses
  • B : Un contre-pouvoir
  • C : Un moyen d’élargir le débat d’idées au sein de la population
  • D : Un vecteur de communication des programmes politiques lors des élections

 

Q3 : Quel(s) critère(s) permet(tent) de qualifier une information au sens journalistique ?

 

  • A : Le fait relaté doit avoir eu lieu il y a moins d’une semaine
  • B : Le fait doit être relaté par au moins 4 médias
  • C : Le fait relaté doit être vérifié et vérifiable
  • D : Le fait relaté ne doit pas nécessairement avoir un intérêt pour le public

 

Q4 : Le droit à la liberté d’expression autorise les journalistes à :

 

  • A : Exprimer librement ce qu’ils pensent
  • B : Enquêter sur des dirigeants politiques
  • C : Diffuser des informations sur les réseaux sociaux
  • D : Publier des contenus encourageants la discrimination d’un groupe en fonction de sa religion

 

Q5 : Parmi les règles déontologiques que doivent respecter les journalistes, on trouve :

 

  • A : Le droit d’altérer certains documents ou de détourner des images pour faire passer un message
  • B : L ’obligation de faire preuve d’esprit critique, d’exactitude et d’intégrité
  • C : Le droit de travailler dans un service public, une institution ou une entreprise privée
  • D : Le droit de rectifier toute information diffusée qui se révèlerait inexacte

 

Q6 : L’Organisation non-gouvernementale à l’origine du classement annuel sur la liberté de la presse dans le monde est :

 

  • A : L’ UNESCO
  • B : La Croix Rouge
  • C : Reporters Sans Frontières
  • D : Médecin Sans Frontières

 

 

CORRIGÉ DU QUESTIONNAIRE

 

  • Q1 : B
  • Q2 : B, C, D
  • Q3 : C
  • Q4 : A, B, C
  • Q5 : B, D
  • Q6 : C

GUIDE DE L’APPLICATION MADMAGZ

OBJECTIFS PÉDAGOGIQUES

Objectif 1 : Le formateur est capable d’accompagner les jeunes dans la création d’un journal en ligne

Objectif 2 : Le formateur a compris le fonctionnement et les spécificités de l’application Madmagz

Objectif 3 : Le formateur parvient à encadrer ses élèves dans la création du journal en favorisant la collaboration grâce au partage de liens et à la répartition des rôles de chacun.e en fonction du système hiérarchique du site (super rédacteur en chef, rédacteurs en chef, rédacteurs)

 

CRÉER UN WEB MAGAZINE GRÂCE À MADMAGZ

1 – S’identifier (par Facebook, Google ou identifiants de votre compte Madmagz)

 

2 – Choisir la maquette qui correspond le mieux à votre projet éditorial ; Afin de choisir la meilleure maquette, prévisualisez les modèles proposés

 

3 – Nommez votre magazine en lui donnant un titre, un numéro et un thème

 

4 – Si vous souhaitez concevoir votre magazine en équipe, attribuez les rôles de chaque membre du projet. Différents rôles sont possibles, avec des droits plus ou moins étendus : “le super rédacteur en chef”, Le “rédacteur en chef”, Le “rédacteur”.

 

5 – Ajouter les pages de votre magazine (4 pages minimum) ; Lors de cette étape, sélectionnez les rubriques de page en fonction du plan éditorial de votre projet (couverture, sommaire, édito, articles)

 

6 – Intégrez vos différents types de contenus sur les pages correspondantes (textes, liens, images, vidéos, podcasts)

 

7 – Publiez votre magazine (action irréversible) ; Il est possible de faire une prévisualisation web ou de télécharger un pdf avant de valider la version finale du magazine.

 

8. Partagez votre journal via un lien web dédié, par mail ou sur les réseaux sociaux !

 

 

MISE EN PAGE ET INTÉGRATION DE VOTRE CONTENU

Pour mettre en page votre magazine, rendez-vous sur les rubriques situées à gauche de l’écran qui contiennent différentes catégories de pages: couverture, sommaire, édito, article …). Chacune de ces catégories vous offre un large panel de choix de mise en page.

 

A vous de choisir celui que vous souhaitez utiliser et qui est le plus adapté à votre contenu !

 

Pour choisir un design, il suffit de le sélectionner puis de valider. Tout au long de la création de votre magazine, il vous sera possible d’ajouter ou de supprimer des pages grâce à l’onglet “vue d’ensemble” formé par un carré en pointillés, qui vous permet de voir toutes les pages du magazine. Ensuite il suffit de sélectionner la touche + ou – pour ajouter ou supprimer une page.

 

Pour modifier une page, cliquez sur l’onglet qui représente une page et un crayon. Les onglets en forme de flèche vous permettent de déplacer vos pages.

 

Pour éditer une page, cliquez sur l’onglet qui représente une page et un crayon. Vous pourrez ainsi ajuster les différents éléments de votre page: le titre, le texte ou les photos par exemple.

 

Cliquez sur la zone que vous souhaitez modifier (titre ou texte) pour voir apparaître les outils de modification (mettre en gras, en italique, souligner, aligner…) au dessus de la page. Vous pouvez également zoomer ou dé-zoomer pour adapter la page à votre vue.

 

Attention, les zones de textes ne sont pas extensibles. Il ne faut donc pas insérer trop de texte, sinon celui-ci risque d’être coupé.

 

Pour modifier/ ajouter une photo, cliquez dessus. Deux options s’offrent à vous: vous pouvez choisir une image de votre ordinateur ou bien en importer une depuis internet (en copiant puis en collant le lien internet de la photo dans l’encadré de gauche) puis valider.

 

Une fois la photo ajoutée, vous pouvez la recadrer. Les pictogrammes en dessous de l’image vous indiquent si la qualité de l’image permet une publication web et/ou papier. Pour un meilleur résultat, il faut privilégier des images de qualité et de taille suffisante. Vous pouvez si vous le souhaitez, ajouter une autre image de meilleure qualité en cliquant sur “changer l’image” puis valider.

 

LA COLLABORATION : THÉORIE

Découvrons ensemble le fonctionnement d’une option très appréciée par nos utilisateurs : la collaboration . En effet, créer un journal scolaire avec Madmagz vous offre la possibilité de le faire à plusieurs. Pour cela, chacun a un rôle avec des responsabilités diverses.

 

Le super rédacteur en chef :

  • Il est en charge de la création du magazine depuis son compte
  • Il est le seul à pouvoir publier le magazine
  • Il peut inviter des rédacteurs en chef et des rédacteurs mais aussi supprimer des collaborateurs. Attention, s’il supprime un rédacteur en chef, les rédacteurs subalternes seront automatiquement supprimés de la collaboration ainsi que leurs pages !
  • Il peut ajouter des pages, les modifier, mais aussi modifier ou supprimer les pages de ses collaborateurs.

 

Enfin, il peut inviter d’autres personnes à collaborer sur son magazine, deux catégories de personnes à deux niveaux différents: les rédacteurs en chef et les rédacteurs simples en leur envoyant des liens de collaboration spécifiques.

 

Le rédacteur en chef :

  • Il peut créer des pages
  • Il peut inviter des collaborateurs (des rédacteurs)
  • Il peut modifier et supprimer les pages de ses collaborateurs
  • Il peut envoyer ses pages et celles de ses collaborateurs au super rédacteur en chef pour que celui -ci les intègre, ou non, dans le magazine.

 

Le rédacteur :

  • Il peut être invité par le rédacteur en chef ou par le super rédacteur en chef lui-même
  • Il peut ajouter et modifier des pages qu’il peut envoyer au rédacteur en chef ou au super rédacteur en chef, s’il a été ajouté par ce dernier.

 

Il s’agit donc d’une structure hiérarchique.

 

De la même manière, les rédacteurs envoient leurs pages au rédacteurs en chef qui l’envoient au super rédacteur en chef pour validation. Si le rédacteur en chef n’est pas satisfait, il peut les renvoyer au rédacteur. Si le super rédacteur en chef a envoyé un lien de collaboration à un rédacteur directement, ce dernier pourra lui envoyer ses pages directement.

 

Lorsque le super rédacteur en chef est satisfait a vérifié et validé toutes les pages, il peut les ajouter au magazine.

 

LA COLLABORATION EN PRATIQUE

Au travers de ces quelques minutes d’explications et de démonstration vous pourrez distribuer les rôles de rédacteurs et rédacteurs en chefs aux différents collaborateurs du magazine. Comme nous l’avons vu précédemment, les collaborateurs peuvent avoir plusieurs rôles et fonctions : super rédacteur en chef, rédacteur en chef ou rédacteur.

 

Le super rédacteur en chef peut inviter un nombre illimité de collaborateurs dans le magazine. Ces derniers pourront créer leurs pages et les envoyer aux autres collaborateurs.

 

Pour inviter des collaborateurs, vous pouvez partager un des liens de collaboration qui vous est fourni en début de création de votre magazine. Pour cela, il suffit de cliquer sur l’onglet “J’invite des collaborateurs”.

 

(Pour inviter des collaborateurs, vous pouvez aussi les inviter au cours de l’édition, grâce à un pictogramme présent dans la vue d’ensemble du magazine, nous y reviendrons).

 

Les règles de la collaboration:

  • Les collaborateurs que vous inviterez auront accès à leur propre espace pour créer des pages qu’ils pourront vous envoyer pour vérification et que vous pourrez leur renvoyer pour modification
  • Une fois toutes les pages réunies, le super rédacteur en chef peut publier le magazine
  • Il est également possible de créer un rôle intermédiaire, le rédacteur en chef, pour créer des sous-équipes.

 

Dans ce cas, vous êtes le propriétaire. Il faut cliquer sur l’onglet “J’ai compris”, on vous propose ensuite de gérer vos collaborateurs.

 

Sur cette page, vous pouvez :

  • envoyer un lien de collaboration au rédacteur en chef ou au rédacteur et copiant les liens affichés puis en leur envoyant
  • Lorsque vous avez des collaborateurs, vous pouvez leur envoyer des pages ou supprimer le collaborateur grâce à l’icône de la flèche et de la corbeille.

 

Mettons-nous à présent à la place du rédacteur en chef qui reçoit le lien. Il lui faut remplir son nom et cliquer sur “collaborer”.

 

Sur son espace, le rédacteur en chef :

  • n’a pas accès au magazine dans sa globalité
  • Il peut créer des pages avec la maquette conçue par le super rédacteur en chef et lui envoyer
  • Une fois que la page a été envoyée au super rédacteur en chef, elle disparaîtra de l’interface de connexion du rédacteur en chef.

 

En tant que super rédacteur en chef, vous recevez les pages et pouvez les consulter, les modifier, les supprimer ou les renvoyer en cas de modification.

 

Pour renvoyer, il suffit de sélectionner la page et cliquer sur le bouton de renvoi de page. Une fois renvoyée, la page n’apparaît plus dans l’espace du super rédacteur en chef mais dans celui du rédacteur en chef qui pourra alors la modifier puis la renvoyer.

 

Pour gérer la liste de vos collaborateurs, il faut cliquer sur l’icône qui représente trois personnes.

 

Le rédacteur en chef peut aussi inviter des collaborateurs et les gérer en cliquant sur l’icône située en bas à gauche de l’interface (au dessus du bouton pause). La seule différence c’est que le rédacteur en chef peut envoyer des liens de collaboration à des rédacteurs.

 

Le rédacteur arrivera sur une page d’accueil ou on lui demandera son nom, il aura ensuite accès à son espace et pourra créer des pages de la même manière qu’expliqué plus haut. Il lui faudra envoyer ses pages à la personne qui l’a invité directement pour validation ou correction.

 

Une fois qu’il a reçu vérifié, corrigé et validé toutes les pages, le super rédacteur peut publier le magazine.

 

 

PUBLICATION DU MAGAZINE

La publication de votre magazine est enfin arrivée !

 

Une fois le magazine terminé, vous pouvez le publier. Mais avant cela, il est important de faire certaines vérifications:

 

  • vous pouvez générer une prévisualisation en version web de votre magazine (icône oeil)
  • ou alors télécharger le pdf haute définition l’aperçu de votre magazine (icône feuillets)
  • vous pouvez alors vérifier que le texte, les images, sont bien positionnés ainsi que la qualité des images.

 

Attention:

  • Le nombre total de page doit être un multiple de 4 et le nombre minimal de page doit être égale à 4. Si vous ne respectez pas l’une de ces deux règles, vous ne pourrez pas publier votre magazine.
  • La publication du magazine est irréversible.

 

Pour publier le magazine, il faut appuyer sur “ publier”.

 

Avant de publier votre magazine, vous pouvez changer :

  • le titre
  • le numéro

Il ne reste plus qu’à appuyer sur “publier”.

Félicitations, vous venez de créer votre premier magazine Madmagz !

 

Les modes de publication:

 

Magazine Premium:

  • Ce mode de diffusion vous permet de partager votre magazine par mail avec le lien du magazine web, mais aussi sur facebook, twitter ou l’intégrer sur votre site ou votre blog, grâce au code d’intégration qui change en fonction de la mise en page que vous choisissez et de la taille en pixel de votre magazine.
  • Une fois votre magazine publié, vous pourrez y ajouter des interactions: des liens, des vidéos, du son, des gifs mais aussi gérer la confidentialité et savoir combien de fois il a été consulté !

 

PDF :

  • Ce PDF est parfait pour une lecture sur écran mais d’une qualité médiocre à l’impression. Le PDF est disponible immédiatement après l’achat en cliquant sur “télécharger”.

 

PDF d’impression :

  • C’est le mode de diffusion recommandé si vous souhaitez imprimer le magazine par vos propres moyens. Vous pourrez choisir entre deux types d’impression: domestique (sur votre imprimante) ou professionnelle, chez un imprimeur (pour un meilleur résultat).

 

 

INSPIRATION ET CAS D’USAGE

Vous y êtes presques ! Nous vous invitons à visiter le Blog de Madmagz Edu où se trouvent de nombreux cas d’usages dont vous pourrez vous inspirer pour la création de votre journal scolaire.

 

Vous pourrez y trouver des magazines qui ont été créé par des collégiens, des lycéens, des élèves dans le cadre de certains projets dans leurs établissements en classe ou en groupe.

 

Vous pouvez également soumettre votre projet et trouver les actions éducatives faites par Madmagz.

 

Cas d’usage : Une classe de 4ème s’est amusée à retracer l’histoire des Misérables dans un magazine interactif et collaboratif, centré sur ce thème et sur la vie de l’auteur, Victor Hugo. Les élèves ont ajouté du son, des vidéos ( lorsque vous mettez des vidéos sur votre magazine, vous pouvez les lire en format “liseuse” ). Ils ont également mis un lien vers le site de leur établissement.

 

POUR ALLER PLUS LOIN

https://madmagz.com/ site Madmagz

https://madmagz.com/faq Frequently asked questions

 

ACTIVITÉS PRATIQUES EN LIGNE

PRÉSENTATION

La fiche suivante vous guidera dans l’animation d’activités pratiques en ligne autour de l’éducation aux médias. Ces activités sont en langue anglaise.

Vous avez la possibilité d’animer ces activités via une visioconférence, avec un temps de présentation des exercices, un temps de pratique puis un temps de restitution et de débat virtuel avec l’ensemble des participants.

 

Vous pouvez également transférer les liens des exercices aux jeunes, en tant que “travail à la maison” à réaliser sur ordinateur.

 

QUIZZ EN LIGNE – SAVOIR IDENTIFIER LES FAKE NEWS

Les Quizz en ligne ci-dessous permettront aux apprenants de se familiariser avec la méthode de vérification des faits. Ils sont invités à évaluer si des articles ou des images correspondent à des informations vérifiées ou à des fausses nouvelles. L’exercice de l’UNICEF est spécialement dédié à la lutte contre la manipulation de l’information autour du coronavirus.

 

Quizz en ligne de ABC EDUCATION
Real, LOLZ, oops or fake” – lien 

 

Quizz en ligne de QUIZIZZ
“Media literacy and fake news” – lien

Quizz en ligne de FACTITIOUS
“Vrai ou faux : test tes capacités de fact-checker à travers 6 niveaux” – lien

 

Quizz en ligne de l’UNICEF :
“Faits ou fiction : évaluez vos connaissances sur la maladie à coronavirus”- lien

 

 

DÉBATS AUTOUR DES PODCASTS DE “ON THE MEDIA”

ON THE MEDIA a créé une série de podcasts qui aborde les enjeux des médias, de l’information et des fausses nouvelles. Nous avons sélectionné 3 épisodes qui ont une dimension pédagogique particulièrement intéressante. Vous pouvez ainsi proposer à vos élèves d’écouter ces podcasts, puis susciter des débats en ligne autour d’exemples concrets de théories du complot, de haine en ligne ou de campagnes de désinformation.

 

Podcast 1 :
“Les théories du complot en plein boom sur Facebook” – lien

Podcast 2 :
“Conspirationnisme et xenophobie dans les médias polonais” – lien

Podcast 3 :
“Les campagnes de désinformation autour du coronavirus” – lien

 

 

ESCAPE GAME – JEUX IMMERSIFS EN LIGNE AUTOUR DE L’EMI

Afin de donner une dimension concrète à la formation en éducation aux médias, proposez à vos élèves de devenir eux-même producteurs d’informations ou de fake news à travers ces deux jeux immersifs en ligne.

 

Deviens un jeune reporter de la BBC
“Ireporter Game for students” – lien

Votre rôle en tant que journaliste de la BBC est de couvrir une nouvelle de dernière minute en publiant votre histoire sur le site « BBC Live« . Votre histoire sera jugée sur l’équilibre entre précision, impact et rapidité.

 

Deviens fabricant de fake news avec FAKE IT TO MAKE IT
Jeux immersif en ligne – lien

Fake it to make it est un simulateur de sites de fake news, qui montre pourquoi et comment les gens se font manipuler. Le joueur y incarne un étudiant qui veut renflouer ses caisses facilement grâce à un site de fausses informations, rentable grâce à la pub et aux partages sur des (faux) groupes sur les réseaux sociaux.

 

 

ACTIVITÉS EN LIGNE SUR LA PLATEFORME TALMIL

La section jeune de la plateforme TALMIL propose des activités pratiques en ligne, afin d’accompagner les élèves de façon ludique sur l’apprentissage des principales notions de l’éducation aux médias.

 

Quizz en ligne :
“Teste tes connaissances sur les médias et l’information !” – lien

 

Quizz en ligne :
“Info ou infox : sauras-tu identifier les informations authentiques ?” – lien

 

Activité pratiques en ligne :
“Je deviens un apprenti-reporter” – lien

ACTIVITÉ N°2 – LE DÉBAT MOUVANT

PRÉSENTATION DE L’ACTIVITÉ

Le débat mouvant permet aux stagiaires de se positionner dans la pièce par rapport à une question soulevée par l’encadrant. Cet exercice est intéressant car il incite les stagiaires à la participation et au dynamisme.

 

Le but de l’exercice est de pousser les jeunes à la réflexion autour de leurs pratiques numériques et du droit sur Internet.

 

Remarque : La question ne doit pas nécessairement polariser et opposer les participants, il apparaîtra que sur beaucoup de questions les avis ne sont pas tranchés.

 

 

DÉROULÉ DE L’ACTIVITÉ

1. Préparation de la salle : Répartir les jeunes en un seul groupe

 

2. A l’aide d’un support visuel (PowerPoint projeté sur un fonds d’écran ou un mur blanc), l’encadrant montre un post contradictoire sur un réseau social (par exemple, un post avec un commentaire insultant de la part d’un navigateur), et demande aux stagiaires de se positionner physiquement dans la salle, en disant : « ceux qui pensent qu’on a le droit de faire cela d’un côté, ceux pense qu’on n’a pas le droit de l’autre ». Personne ne peut rester au milieu.

 

3. Les stagiaires se positionnent

 

4. Une fois que les participants se sont positionnés, ils devront justifier et expliquer leurs prises de position, sur la base du volontariat ou par d’autre outils de prise de parole (faire passer une balle par exemple). Quand un camp a donné un argument, c’est au tour de l’autre camp d’exprimer un argument. Si un argument du camp opposé est jugé valable par un participant, il peut changer de camp.

 

5. A la fin du débat et des explications, une autre question sera proposée et les participants se re-déplaceront, jusqu’à la fin de l’exercice.

 

 

ANNEXE

 

Exemple de post clivant et contradictoire

Oulala ! @Oulala08514297 – 19 Août 2019

“La loi du Coran l’emporte sur la loi de la république.

De fait l’islam est incompatible avec la démocratie et la république !

Il faut interdire cette secte mortifère en France comme en Slovénie ou en Chine !”

 

 

ACTIVITÉ N°1 – Le Tableau des Bonnes Pratiques en ligne

PRÉSENTATION DE L’ACTIVITÉ

Objectifs :

 

  • S’Interroger sur certaines pratiques que l’on peut adopter en ligne
  • Encourager une citoyenneté numérique positive et respectueuse
  • Savoir dialoguer et argumenter son point de vue

 

L’exercice est constitué d’un tableau à remplir par les participants, et d’une liste de plusieurs comportements possibles sur internet. Les participants devront classer ces pratiques/comportements dans ce qui leur semble être de bonnes pratiques ou de mauvaise pratiques.

 

De plus, le dialogue et l’argumentation sont indispensables à la réalisation de cette activité: il leur est donc demandé de justifier leur choix. Ce dernier objectif de dialogue est atteint encore plus efficacement par la désignation d’un rapporteur dans chaque groupe, les incitant alors à s’entendre et se concerter avant de rendre une réponse finale.

 

Variante à l’exercice : En l’absence d’ordinateur ou de tableau, il est possible d’imprimer le tableau des bonnes pratiques en plusieurs exemplaires, en laissant de nombreuses cases disponibles, afin que les participants les remplissent au fur et à mesure des propositions.

 

 

DÉROULÉ DE L’ACTIVITÉ

1. Préparation de la salle : Répartir les jeunes en deux ou trois groupes et présenter le tableau des bonnes pratiques au tableau ou à l’aide d’un vidéo projecteur (ou sur papier)

 

2. Soumettre un à un ces quelques exemples de propositions à classer par les participants :

  • Signaler un commentaire haineux ou violent sous une publication
  • Accepter n’importe qui dans sa liste d’ami
  • Bloquer un internaute sur un réseau social
  • Débattre avec une personne insultante dans les commentaires d’une vidéo
  • Donner son adresse ou des informations personnelles
  • Poster une photo de tes amis sans leur demander
  • Utiliser le même mot de passe pour tous les réseaux sociaux

 

3. Chaque réponse devra faire l’objet d’argumentation de la part des groupes et ouvrir un mini-débat sur la base des réflexions suivantes : Liberté d’expression, modération de contenu haineux, complotisme, diffamation, (voir “FICHE 14 – LA CITOYENNETÉ NUMÉRIQUE” et “FICHE 12 – Sensibiliser contre la haine en ligne”)

 

 

ADAPTATION DE L’ACTIVITÉ EN LIGNE

Il est possible de faire remplir ce tableau à distance par les participants, en leur envoyant le tableau et en leur donnant les exemples de propositions à insérer dans le tableau.

 

 

ANNEXE

Exemple de tableau des bonnes pratiques :

Bonnes Pratiques Numériques

Mauvaises Pratiques Numériques

   
   
   
   

 

ACTIVITÉ N°2 – Animer une campagne sociale en ligne

PRÉSENTATION DE L’ACTIVITÉ

Objectifs:

  • S’approprier des moyens d’information et de communication
  • Utiliser les réseaux sociaux pour des campagnes sociales
  • Développer l’esprit critique

 

Cet exercice a comme but la création d’une campagne sociale en ligne par les participants. Après avoir choisi les thématiques à aborder (par ex. : des thématiques locales comme celles concernant le quartier), ainsi qu’un réseau social à travers lequel relayer le contenu de leur campagne sociale, les jeunes doivent promouvoir une cause en choisissant les images et les phrases les plus adaptées. Il faudra ensuite relayer les contenus du média sur le réseau social en question.

 

Définition :

Une campagne sociale en ligne peut être définie par l’utilisation des outils de la communication et du marketing sur les réseaux sociaux afin de s’emparer d’une thématique à enjeu social (environnement, féminisme, racisme, pauvreté etc.). L’objectif étant de promouvoir certaines valeurs, de mobiliser ou d’alerter les individus notamment les internautes sur des questions sociales importantes, voire de créer un mouvement (ex : MeToo, Black Lives Matters, mouvement serbe #1of5million etc.)

 

 

DÉROULÉ DE L’ACTIVITÉ

1 – Préparation : Les encadrants sélectionnent, avec les jeunes, des sujets à aborder dans leur campagnes sociales sur les réseaux sociaux.

 

2 – Répartition : Une fois les sujets choisis, les encadrants forment plusieurs groupes (selon le nombre de participants). Chaque groupe travaille sur un sujet et choisit le réseau social le plus adapté pour animer sa campagne.

 

3 – Recherche d’information : Afin de créer une campagne sociale efficace, les participants devront rassembler des informations sur les thèmes choisis afin d’en comprendre les enjeux et de produire/diffuser un message pertinent pour soutenir la cause en question.

 

4 – Stratégie de communication : Les participants devront réfléchir à la meilleure stratégie en ligne à mettre en place pour faire passer leur message :

  • Identification du public cible (jeunes, adultes, hommes, femmes etc.)
  • Choisir le réseaux social adapté (ex : plutôt instagram pour l’image et twitter/facebook pour la vidéo et le texte)
  • Type de message (témoignage, humour, chiffres, mini-reportage etc.)
  • Forme du message (photographie, texte, infographie, vidéo etc.)
  • Utiliser les bons mot clés ou “hashtag” pour que le poste soit largement diffusé

 

5 – Mise en place de la campagne : Les participants pourront choisir de débuter leur campagne en postant leur contenu sur leurs comptes personnels ou de créer un compte spécifique pour la campagne.